One does not have to be an expert on Saskia Sassen to know that the city is at the heart of social change in the age of globalization, from global cities to planet of slums, a great deal of research has focused on how cities promote, or adapt to, social change and how cities are hubs of global social dynamics of class, inequalities, gender and ecology.
For instance, take this first item on the rise of “slow cities”:
“La municipalité est la première de France à adhérer à Cittaslow, le réseau international des “villes lentes”. Inspiré du slow food, le mouvement est né en Italie en 1999 et promeut une gestion municipale centrée sur la qualité de vie, l’économie de proximité, le respect des paysages…, en réaction aux zones commerciales et industrielles, à l’étalement pavillonnaire et au tout-voiture devenus l’ordinaire d’un urbanisme débridé.
Cette révolution tranquille compte de plus en plus de partisans. Cent quarante villes de 21 pays ont déjà adhéré à cette charte de 70 obligations. On trouve des villes lentes dans toute l’Europe, mais aussi en Australie, en Corée du Sud, en Turquie, au Canada…”